La liste des affaires devant être entendues au tribunal.
Un crime punissable par la mort.
L'en-tête d'un document juridique répertoriant les parties, le tribunal, le numéro de dossier et les informations connexes.
Loi établie par les décisions antérieures des cours d'appel, en particulier la Cour suprême.
Les faits qui donnent lieu à une action en justice ou à une action en justice.
Un avertissement; une note de prudence.
Une attestation écrite. 2. Une déclaration autorisée confirmant qu'un instrument est une copie conforme et exacte de l'original.
Un moyen d'amener une cour d'appel à examiner la décision d'un tribunal inférieur. Le perdant d'une affaire demandera souvent à la cour d'appel de délivrer un bref de certiorari qui ordonne à la cour inférieure de transmettre le dossier de l'affaire à la cour d'appel et de la certifier comme exacte et complète. Si une cour d'appel accorde un bref de certiorari, elle accepte de faire appel. Ceci est souvent appelé certifiant.
Une objection, par exemple lorsqu'un avocat s'oppose à l'audience d'une personne donnée à un jury civil ou pénal.
Objection au siège d'un juré donné pour une raison déclarée (généralement partialité ou préjugé pour ou contre l'une des parties au procès). Le juge a le pouvoir discrétionnaire de refuser la contestation.
Le bureau privé d'un juge Une audience en chambre a lieu dans le bureau du juge en dehors de la présence du jury et du public.
Déplacement d'un procès ou procès criminel à un autre endroit pour le procès.
Les instructions du juge au jury concernant la loi qui s'applique aux faits de l'affaire au procès.
Juge présidant ou administratif dans un tribunal.
Une preuve qui n'est pas basée sur quelque chose qu'une personne sait ou voit arriver. Un exemple est la preuve physique, telle que les empreintes digitales.
Une référence à une source d'autorité légale. 2. Une directive de comparaître devant un tribunal, comme lorsqu'un accusé est cité devant le tribunal plutôt que d'être arrêté.
Cas non criminels dans lesquels un particulier ou une entreprise privée en poursuit un autre pour protéger, faire respecter ou réparer des droits privés ou civils.
Les règles et procédures par lesquelles une affaire civile est jugée et portée en appel, y compris les préparatifs du procès, les règles de preuve et de conduite du procès, ainsi que la procédure à suivre pour interjeter appel.
Un procès intenté par une ou plusieurs personnes au nom d'un groupe plus important.
Norme de preuve communément utilisée dans les procès civils et dans les cas d'organismes de réglementation. Il régit le montant de la preuve qui doit être offerte afin que le demandeur gagne l'affaire.
Acte de grâce ou de miséricorde du président ou d'un gouverneur pour atténuer les conséquences d'un acte criminel, d'une accusation ou d'une condamnation. Cela peut prendre la forme d'une commutation ou d'un pardon.
La déclaration finale, par l'avocat, au juge des faits après que toutes les parties ont conclu leur présentation de la preuve.
Un amendement à un testament.
Envoyer une personne en prison, en asile ou en rééducation par une décision judiciaire.
Placement d'un jeune pris en charge par la ville (en particulier le Département des services de réadaptation pour la jeunesse ou DYRS) plutôt que de le mettre en probation après avoir été reconnu coupable d'avoir participé à un crime.
Un ensemble de lois fondées sur des décisions judiciaires plutôt que sur des mesures législatives.
La réduction d'une peine d'emprisonnement, de la mort à l'emprisonnement à vie.
Une doctrine juridique selon laquelle les actes des parties opposées sont comparés afin de déterminer le pourcentage de responsabilité de chaque partie, entraînant une réduction du recouvrement du demandeur proportionnellement au degré de culpabilité du demandeur. Voir aussi la négligence contributive.
La partie qui se plaint ou poursuit; celui qui s'adresse à la cour pour obtenir réparation. Aussi appelé le demandeur.
Le document juridique qui commence habituellement un procès civil. Il énonce les faits et identifie les mesures que le tribunal est appelé à prendre. 2. Accusé formel écrit qu'une personne a commis une infraction criminelle.
Une forme de règlement extrajudiciaire des différends dans laquelle les parties amènent leur différend à une tierce partie neutre, qui contribue à réduire les tensions, à améliorer les communications et à explorer les solutions possibles. La conciliation est semblable à la médiation, mais elle peut être moins formelle.
Peines pour plus d'un crime qui doivent être servis en même temps, plutôt que l'un après l'autre. Voir aussi les phrases cumulatives.
Le processus juridique par lequel le gouvernement prend des terres privées pour un usage public, en payant les propriétaires à un prix équitable.
Les termes par lesquels une personne doit respecter pour être dans la communauté, plutôt que de sécuriser la détention.
Les peines successives, l'une commençant à l'expiration d'une autre, sont imposées à une personne reconnue coupable de deux infractions ou plus.
Un accord selon lequel un jeune doit être en probation avant de plaider ou de conclure à sa participation à un crime. Le décret dure généralement six mois et ne nécessite pas d'autres audiences, à moins d'être demandé parce que le jeune ne respecte pas les conditions de sa libération.